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  • RECUEIL : NOS CONTREES ENCHANTEES

     
     
     
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    -------------------------------- CLASSIQUE


    Il m’observe de la fenêtre
    Je lui souris toujours,
    Mais j’aimerais qu’à son tour
    Il revienne sur terre.

    Il a le regard fuyant
    Il tire maladroitement le rideau,
    On dirait un enfant
    Qui a peur d’aller de l’avant.

    Des doutes m’assaillent de toute part,
    Peut-être est-il trop tard ?

    S’il réagit comme ça
    C’est à cause de moi,
    Je n’aurais pas dû l’embrigader
    Dans cette aventure incertaine.
    Je ne puis être sa reine…
    J'aurais dû remarquer
    Cette alliance à son doigt.
    Je n’ai plus d’autre choix
    Que de l’oublier dès maintenant.

    Je verse mes dernières larmes...
    Je ne te ferai plus de charmes
    Je t’éviterai complètement.

    Il est tant de se quitter,
    Nous n’étions pas destinés.

    27/01/07
    -------------------------------- RENCONTRE


    Un voile noir se déploie,
    Les lumières artificielles éclairent avec douceur
    Les moindres recoins de chaque cœur.

    Un jeune garçon, très courtois
    Remarque une demoiselle,
    Aussitôt il l’interpelle,
    Elle répond timidement.
    Ils sentent un courant de folie
    Qui noue de nouveaux sentiments.
    Cet instant leur parait infini
    Leurs regards se croisent difficilement
    Un léger parfum de romantisme
    Prend naissance rapidement.
    L’homme a tant de charisme ;
    Il lui demande gentiment
    De l’accompagner jour et nuit.

    Ils partent amants,
    Et finiront unis pour la vie.

    19/02/07
    -------------------------------- SI LE CŒUR T’EN DIT


    Si le cœur t’en dit,
    Si les mots te viennent
    Et s’entrechoquent ici,
    Dans ces mystérieuses plaines
    Où la vie parait si réelle
    Où les cris n’existent pas.

    Ses chants m’interpellent,
    Et je le suis pas à pas
    Dans une valse tourbillonnante,
    J’aime sa voix retentissante.

    Si le cœur t’en dit,
    Si tu me tends la main
    Je prendrai un chemin
    Celui du paradis.
    Je verrai des anges
    Vêtus tout en blanc.

    J’aime ce qui est étrange
    J’aime quand le vent
    Me pousse dans des rêveries
    Tissées par des « si »

    Si le cœur t’en dit
    Si ta plume se décide un jour
    Poussée par une bise d’amour,
    Si le cœur t’en dit …

    25/02/07
    -------------------------------- AU PAYS DES MERVEILLES


    Une fille aux cheveux blonds dorés,
    Portant une robe bleue nacrée,
    S’est éloignée de son amoureux.
    Il est passé aux aveux…

    Elle ne sait plus où elle s’en est allée
    Elle voit au loin un lapin,
    Un lapin tenant une montre argentée,
    Ce dernier la prend par la main.

    Plusieurs chemins s’offrent à elle,
    Le choix est si compliqué
    Aux pays des mondes et merveilles.
    Elle se promène entre rêves et réalité…

    La forêt est un immense labyrinthe
    Elle suit les pancartes peintes
    Le paysage est si étrange
    Il bouge et change
    De formes à l’infini
    Elle entend un cri,

    Alice réveille-toi
    Alice viens à moi…

    8/02/07
    -------------------------------- POUSSIÈRE


    La lumière vacille à l’horizon,
    Et perd s’en cesse de son éclat…
    Je marche et me confonds
    Avec cette lueur. Mon aura
    Se noircit à l’infini,
    La crainte naît progressivement,
    Je n’entends aucun bruit
    Mes gestes deviennent plus lents,
    La rue, les voitures, les gens
    Tout se floute, s’efface
    Vais-je laisser une trace
    Si ce n’est un sentiment…

    Je traverse un tunnel
    Tout parait si réel
    Mes cinq sens n’existent plus
    Je ne suis donc plus…

    La vie nous est chère,
    La mort est poussière.

    14/02/07
     
     
    --------------------------------  NOS CRIMES
    Une étincelle se dissimule au loin
    De notre parcours jonché d’épreuves,
    De révolution face aux esprits hautains
    A la crise existentiel dans nos fleuves
     
    A la pollution sans cesse propagée
    A le cruauté de certains hommes
    Qui n’hésitent pas à tuer
    Quand l’argent frôle une tonne,
    Une quantité atroce de richesses
    Qui dévoile nos pires faiblesses…
     
    La peur, l’horreur, le malheur
    Tout pourrait être anéanti
    Si nous autres étions doués de raison,
    Mais le poison ronge nos horizons
    Nos espoirs les plus respectables,
    Qui souvent sont balayé comme du sable
     
    Car le changement exerce une pression
    Car avouer nos pêchers est symbole de récession.
    26 /04/08